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Malédiction 1, une adaptation théâtrale tunisienne à fleur de rage de King Kong Théorie

Malédiction 1 ou Ain Houta est une performance, punk-rock pleine d’énergie et de rage présentée par Wissal Labidi le 26 septembre dans le cadre du festival Nawaat. 45 mn de déluge de parole incisive et souvent crue, qui revisite les mécanismes de la domination masculine. Un spectacle à la fois jubilatoire et dérangeant.

Olfa Belhassine Olfa Belhassine
3 octobre 2025
dans Créations
37 3
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Cette publication est également disponible en : English (Anglais) العربية (Arabe)

Photo de Nawaat.

Pour la cinquième année consécutive, le site tunisien indépendant Nawaat a tenu les 26, 27 et 28 septembre, son festival, dans son siège-maison-à-patio à Tunis.

Entre concerts, exposition hommage aux martyrs de la presse palestinienne, installations multimédia, théâtre et danse... Le public, nombreux et désormais fidèle à l’événement, a circulé pendant trois jours dans des espaces offrant à voir et à découvrir des formes artistiques, qui intriguent, bousculent et dérangent.

Cette année, les productions qui ont été choisies pour la section Innawation sont signées par trois femmes, Wissal Labidi, comédienne et productrice de théâtre, Oumaima Bahri, danseuse et Yafa Saidi, autrice d’une performance chimico-artistique immersive.

Malédiction 1 ou Ain Houta est une trilogie théâtrale.  Une performance, punk-rock ponctuée d’énergie et de rage évoluant sur trois chapitres présentés par Wissal Labidi dès le 26 septembre. 45 mn de déluge de parole virulente, qui revisite les mécanismes de la domination masculine. Dans un univers onirique et une mise en scène maitrisée d’un bout à l’autre.

Inspirée par King Kong Théorie « manifeste féministe avant-gardiste »

Malédiction 1 est tout d’abord un texte polyphonique. La pièce mêle des extraits d’une adaptation en arabe tunisien de l’essai, King Kong Théorie, de Virginie Despentes à des voix de femmes tunisiennes victimes de violences de genre et à la narration d’un fait divers d’une brutalité inouïe.

« L’inspiration première de ce spectacle m’est venue lorsque j’ai rencontré ce manifeste féministe avant-gardiste qu’est King Kong Théorie publié en 2006, 11 ans avant la révolution #Metoo. Sa lecture a bouleversé ma vie et ma vision du monde. Après l’avoir traduit dans ma langue natale au moment du confinement, je me suis posée la question : que vais-je en faire ? », raconte Wissal Labidi.

La comédienne commence alors à tester des morceaux choisis de sa traduction sur ses copines et par la suite dans des espaces publics privés, des restaurants et des cafés.

A sa grande surprise, l’effet d’identification de la colère qu’elle manifeste sur scène agit instantanément sur son auditoire féminin.  Beaucoup viennent la voir à la fin de sa lecture pour lui confier leurs propres histoires.

« Quand j’ai commencé à recueillir ces témoignages, l’idée m’est venue de relier ces expériences parfois insoutenables aux extraits du livre de Despentes et de tisser ainsi le texte de la pièce de théâtre », se rappelle Wissal Labidi.

« Ceci n’est pas mon texte »

La salle qui accueille Malédiction 1 au festival Nawaat est petite, une jauge d’à peine 25 personnes. En cet après-midi du  26 septembre 2025, toutes les places sont prises. Wissal Labidi, debout sur un cylindre noir se mouvant telle une poupée mécanique, toute en noir vêtue, aborde un look punk, très années 80, époque de jeunesse de Virginie Despentes, un moment des plus tragiques pour la pamphlétiste française en raison du viol qu’elle a subi à l’âge de17 ans alors qu'elle faisait de l'auto-stop avec une amie.

Dès le début, Wissal Labidi donne le ton avec une narration déclinée à la première personne du singulier : « Je suis plutôt King Kong que Kate Moss, comme fille. Je suis ce genre de femme qu’on n’épouse pas, avec qui on ne fait pas d’enfant. Je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu’elle est : trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop hirsute, trop virile, me dit-on. »

Photo de Nawaat

Les mots de la comédienne sont ancrés dans la transgression de la langue crue de la rue. Une déflagration, que reçoivent les spectateurices en pleine figure !

Dans la pièce Malédiction 1, les hommes sont, comme les femmes, victimes de stéréotypes de genre. Wissal Labidi revendique : « Il y a aussi des hommes qui détestent la bagarre, pleurent, sont timides, vulnérables, sensibles, aiment faire le ménage et s’occuper des enfants… »

Labidi titre ce premier chapitre : « Ceci n’est pas mon texte ». La performeuse le dit toutefois tout de go dès la séquence d’ouverture : « Moi aussi j’ai été humiliée, tabassée et subi une fracture de mon bras dans le cadre d’une relation intime conflictuelle ». Les éléments autobiographiques de la Tunisienne en s’ajoutant à l’expérience de vie de la Française démontrent à quel point le sujet des violences à l’égard des femmes unit toutes les femmes du monde. Telle une mise en abyme, la vidéo d’une inquiétante piscine sert d’arrière-plan à l'artiste. Une métaphore de tous les efforts que fournissent les femmes, d’ici et d’ailleurs, pour sauvegarder des acquis pouvant couler à tout moment. Alors elles rament à contre-courant…

« Le viol est la guerre civile »

Le viol surgit dans le deuxième chapitre de Malédiction 1 intitulé « On ne viole pas cette femme pleine de vices ».

« Je suis plutôt King Kong que Kate Moss, comme fille. Je suis ce genre de femme qu’on n’épouse pas, avec qui on ne fait pas d’enfant. Je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu’elle est : trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop hirsute, trop virile, me dit-on. »

Le viol, écrit Despentes et scande Labidi « est la guerre civile, l’organisation politique par laquelle un sexe déclare à l’autre : “Je prends tous les droits sur toi, je te force à te sentir inférieure, coupable et dégradée.” ».

Wissal Labidi partage également dans cette partie de sa performance les témoignages qu’elle a recueillis ici et là à l’issue de ses lectures publiques. Des femmes sont venues lui confier des viols conjugaux à répétition, des récits d’inceste, d’emprise, de violences dans la rue, dans le travail… ici l’intime devient plus que jamais public et politique.

« Je ne suis pas qualifiée pour les conseiller. C’est une écoute empathique et amicale que je leur offre. Par contre mon rôle consiste à documenter ces histoires. D’ailleurs le courant artistique auquel j’adhère s’appelle "le théâtre documentaire ", très proche du réel », avance l’artiste.

« J’explorerai d’autres écrits féministes »

La dernière partie, « Le Retour d’Œdipe » relate un macabre fait divers entendu sur les ondes d'une radio tunisienne : un homme écrase sa femme de tout son poids, l’immobilise, la frappe sur la tête, puis lui arrache les yeux avec une fourchette. L’écran derrière l’actrice s’habille d’une multitude de yeux et la répétition sans interruption de cette histoire est une tentative de la fixer dans les mémoires. « Il ne faudra plus jamais banaliser les féminicides et autres tragédies vécues par les femmes entre les murs de leurs foyers », semble-t-elle nous dire.

Lorsqu’enfin la comédienne se tait et que le spectacle s’achève dans un silence religieux, le public, debout, l’acclame longuement. Deux ou trois spectatrices, les yeux rougis, se mouchent bruyamment. Hommes et femmes ont été transporté.es par le texte et son interprétation incarnée. L’émotion est générale. La sidération est palpable.

Wissal Labidi a déjà conçu la suite de Malédiction 1. Le même format et la même problématique, à savoir la condition féminine dans une société patriarcale et le diktat de l'idéal féminin, seront interrogés dans Malédiction 2 et 3. « J’y explorerai d’autres écrits féministes d’une radicalité aussi intense que King Kong Théorie ! », promet-elle tout sourire.

Olfa Belhassine

Olfa Belhassine

Olfa Belhassine a travaillé en tant que journaliste au quotidien La Presse de Tunisie de 1990 à 2023. Après la Révolution de 2011, elle publie sur Libération, Le Monde et Courrier International des articles témoignant de son expérience de journaliste avant et après la chute du régime du président Ben Ali. En 2013, elle obtient le premier Prix du journalisme du Centre de la Femme arabe pour son enquête sur le mariage coutumier en Tunisie publiée sur le journal La Presse. Elle est depuis 2015 la correspondante en Tunisie de JusticeInfo.net, un site spécialisé dans la justice transitionnelle à travers le monde. Avec Hedia Baraket, Olfa Belhassine a publié, en 2016, un livre intitulé "Ces Nouveaux Mots qui font la Tunisie", une analyse approfondie sur la transition politique en Tunisie après la révolution.

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