• it VO
  • fr Français
  • en English
  • ar العربية
A propos
  • Explorations
    • Tout
    • Dossiers
    • Monde
    • Reportages
    Marche arrière en Italie sur l'introduction du consentement dans la définition du viol

    Marche arrière en Italie sur l'introduction du consentement dans la définition du viol

    600 avortements par jour au Maroc: des chiffres alarmants et des histoires tragiques

    600 avortements par jour au Maroc: des chiffres alarmants et des histoires tragiques

    En Serbie, le défi d'un meilleur accès aux méthodes contraceptives

    En Serbie, le défi d'un meilleur accès aux méthodes contraceptives

    Rebelles, témoins, victimes : les femmes contre la mafia 3/3

    Rebelles, témoins, victimes : les femmes contre la mafia 3/3

    « L'année de la famille » en Turquie : faire des femmes les incubatrices de la nation

    « L'année de la famille » en Turquie : faire des femmes les incubatrices de la nation

    Les Sujets

    • Femmes artistes
    • Femmes vivant de la rue et dans la rue
    • Femmes et corps
    • Femmes et sport
    • Femmes et cinéma
    • Séries ramadanesques
    • Femmes et guerre
    • Femmes mises à la marge
    • Femmes et information
    • Précarité menstruelle
    • Femmes et prison
    • Femmes rurales
    • Anti-violence
    • Corps en transition
    • Droits sexuels et reproductifs
  • En mouvement
    Réforme du congé maternité en Algérie : avancée majeure, angles morts persistants

    Réforme du congé maternité en Algérie : avancée majeure, angles morts persistants

    Le gouvernement espagnol lance une campagne contre la violence vicariante

    Le gouvernement espagnol lance une campagne contre la violence vicariante

    « 16 jours d’activisme » : la mobilisation commence aujourd’hui en Tunisie

    « 16 jours d’activisme » : la mobilisation commence aujourd’hui en Tunisie

    Solidarité internationale face à la suspension de l’Association tunisienne des femmes démocrates

    Solidarité internationale face à la suspension de l’Association tunisienne des femmes démocrates

  • Portraits
    Sur TikTok, une libération de la parole inédite sur l’excision : l’engagement de Tabara Touré, 22 ans

    Sur TikTok, une libération de la parole inédite sur l’excision : l’engagement de Tabara Touré, 22 ans

    Sophie Bessis : « La bataille de l’intime sera longue, notamment dans les pays du Sud ! »

    Sophie Bessis : « La bataille de l’intime sera longue, notamment dans les pays du Sud ! »

    Dis maman, dis papa, qu'est-ce que le consentement ? Un livre jeunesse 100% tunisien pour prévenir les violences sexuelles

    Dis maman, dis papa, qu'est-ce que le consentement ? Un livre jeunesse 100% tunisien pour prévenir les violences sexuelles

    Roya Karimi, athlète afghane : « La découverte du bodybuilding a complètement changé ma vie »

    Roya Karimi, athlète afghane : « La découverte du bodybuilding a complètement changé ma vie »

  • Créations
    • Tout
    • Expo Arts Visuels
    • Livres, films, séries
    Muganga — la guerre se lit sur le corps des femmes

    Muganga — la guerre se lit sur le corps des femmes

    Malédiction 1, une adaptation théâtrale tunisienne à fleur de rage de King Kong Théorie

    Malédiction 1, une adaptation théâtrale tunisienne à fleur de rage de King Kong Théorie

    Je ne suis pas ta gitane : combattre l’antitziganisme avec humour

    Je ne suis pas ta gitane : combattre l’antitziganisme avec humour

    Des chansons féministes de part et d'autre de la Méditerranée, la rédaction partage sa playlist

    Des chansons féministes de part et d'autre de la Méditerranée, la rédaction partage sa playlist

  • Opinions
    Lettres sous les bombes - Quand une mère perd ses six fils d’un seul coup  (10)

    Lettres sous les bombes - Quand une mère perd ses six fils d’un seul coup (10)

    Lettres sous les bombes – « Pas de gâteau d’anniversaire pour mes enfants » (9)

    Lettres sous les bombes – « Pas de gâteau d’anniversaire pour mes enfants » (9)

    La mort « tonitruante » de Fatima Hassouna

    La mort « tonitruante » de Fatima Hassouna

    Fatima Hassouna, l’œil de Gaza s’éteint

    Fatima Hassouna, l’œil de Gaza s’éteint

  • Multimedia
    Diala Al Hindawi  « Je veux voir ma maison à Damas ! »

    Diala Al Hindawi « Je veux voir ma maison à Damas ! »

    Séisme au Maroc - Reportage par Mahacine Mokdad (4)

    Séisme au Maroc - Reportage par Mahacine Mokdad (3)

    Séisme au Maroc - Reportage par Mahacine Mokdad (2)

  • Contextes
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
BLOGS
Medfeminiswiya
  • Explorations
    • Tout
    • Dossiers
    • Monde
    • Reportages
    Marche arrière en Italie sur l'introduction du consentement dans la définition du viol

    Marche arrière en Italie sur l'introduction du consentement dans la définition du viol

    600 avortements par jour au Maroc: des chiffres alarmants et des histoires tragiques

    600 avortements par jour au Maroc: des chiffres alarmants et des histoires tragiques

    En Serbie, le défi d'un meilleur accès aux méthodes contraceptives

    En Serbie, le défi d'un meilleur accès aux méthodes contraceptives

    Rebelles, témoins, victimes : les femmes contre la mafia 3/3

    Rebelles, témoins, victimes : les femmes contre la mafia 3/3

    « L'année de la famille » en Turquie : faire des femmes les incubatrices de la nation

    « L'année de la famille » en Turquie : faire des femmes les incubatrices de la nation

    Les Sujets

    • Femmes artistes
    • Femmes vivant de la rue et dans la rue
    • Femmes et corps
    • Femmes et sport
    • Femmes et cinéma
    • Séries ramadanesques
    • Femmes et guerre
    • Femmes mises à la marge
    • Femmes et information
    • Précarité menstruelle
    • Femmes et prison
    • Femmes rurales
    • Anti-violence
    • Corps en transition
    • Droits sexuels et reproductifs
  • En mouvement
    Réforme du congé maternité en Algérie : avancée majeure, angles morts persistants

    Réforme du congé maternité en Algérie : avancée majeure, angles morts persistants

    Le gouvernement espagnol lance une campagne contre la violence vicariante

    Le gouvernement espagnol lance une campagne contre la violence vicariante

    « 16 jours d’activisme » : la mobilisation commence aujourd’hui en Tunisie

    « 16 jours d’activisme » : la mobilisation commence aujourd’hui en Tunisie

    Solidarité internationale face à la suspension de l’Association tunisienne des femmes démocrates

    Solidarité internationale face à la suspension de l’Association tunisienne des femmes démocrates

  • Portraits
    Sur TikTok, une libération de la parole inédite sur l’excision : l’engagement de Tabara Touré, 22 ans

    Sur TikTok, une libération de la parole inédite sur l’excision : l’engagement de Tabara Touré, 22 ans

    Sophie Bessis : « La bataille de l’intime sera longue, notamment dans les pays du Sud ! »

    Sophie Bessis : « La bataille de l’intime sera longue, notamment dans les pays du Sud ! »

    Dis maman, dis papa, qu'est-ce que le consentement ? Un livre jeunesse 100% tunisien pour prévenir les violences sexuelles

    Dis maman, dis papa, qu'est-ce que le consentement ? Un livre jeunesse 100% tunisien pour prévenir les violences sexuelles

    Roya Karimi, athlète afghane : « La découverte du bodybuilding a complètement changé ma vie »

    Roya Karimi, athlète afghane : « La découverte du bodybuilding a complètement changé ma vie »

  • Créations
    • Tout
    • Expo Arts Visuels
    • Livres, films, séries
    Muganga — la guerre se lit sur le corps des femmes

    Muganga — la guerre se lit sur le corps des femmes

    Malédiction 1, une adaptation théâtrale tunisienne à fleur de rage de King Kong Théorie

    Malédiction 1, une adaptation théâtrale tunisienne à fleur de rage de King Kong Théorie

    Je ne suis pas ta gitane : combattre l’antitziganisme avec humour

    Je ne suis pas ta gitane : combattre l’antitziganisme avec humour

    Des chansons féministes de part et d'autre de la Méditerranée, la rédaction partage sa playlist

    Des chansons féministes de part et d'autre de la Méditerranée, la rédaction partage sa playlist

  • Opinions
    Lettres sous les bombes - Quand une mère perd ses six fils d’un seul coup  (10)

    Lettres sous les bombes - Quand une mère perd ses six fils d’un seul coup (10)

    Lettres sous les bombes – « Pas de gâteau d’anniversaire pour mes enfants » (9)

    Lettres sous les bombes – « Pas de gâteau d’anniversaire pour mes enfants » (9)

    La mort « tonitruante » de Fatima Hassouna

    La mort « tonitruante » de Fatima Hassouna

    Fatima Hassouna, l’œil de Gaza s’éteint

    Fatima Hassouna, l’œil de Gaza s’éteint

  • Multimedia
    Diala Al Hindawi  « Je veux voir ma maison à Damas ! »

    Diala Al Hindawi « Je veux voir ma maison à Damas ! »

    Séisme au Maroc - Reportage par Mahacine Mokdad (4)

    Séisme au Maroc - Reportage par Mahacine Mokdad (3)

    Séisme au Maroc - Reportage par Mahacine Mokdad (2)

  • Contextes
A propos
Medfeminiswiya
A propos

Réforme du congé maternité en Algérie : avancée majeure, angles morts persistants

L'Algérie a adopté cet été une réforme ambitieuse du congé de maternité. Mais derrière cette victoire législative, de nombreuses travailleuses restent encore à la marge : procédures inégales, exclusions administratives, discriminations. Entre droit et réalité, la maternité demeure un terrain d’injustices que les mouvements féministes tentent de rendre enfin universel et égalitaire.

Amel Hadjadj Amel Hadjadj
10 décembre 2025
dans En mouvement
1 0
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Le 19 juillet 2025, l’État algérien a adopté une réforme sociale historique : la loi n° 25-08, issue des orientations du Conseil des ministres du 9 février. Elle modifie en profondeur la loi n° 83-11 de 1983 sur les assurances sociales.

150 jours de congé maternité, un tournant social en Algérie

Le congé de maternité devient un pilier de la politique de protection sociale : sa durée passe de 90 à 150 jours, entièrement indemnisés à un taux de 100% et pouvant débuter 42 jours avant l’accouchement, sans réduction en cas de naissance prématurée.

La réforme introduit deux prolongations remarquables : 50 jours supplémentaires pour les naissances d’enfants handicapés, malformés ou gravement malades, sur dossier médical validé et jusqu’à 165 jours additionnels, également indemnisés, pour les cas nécessitant un accompagnement prolongé.

Un service numérique « El Hanaa » permet désormais de déclarer et suivre son congé en ligne, tandis que plus de 270 conventions ont été signées entre la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS), la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (CASNOS) et des cliniques d'obstétrique pour faciliter les accouchements via le tiers payant.

Cette réforme consolide les droits des mères et marque un pas vers une protection plus équitable et universelle. Mais certaines failles juridiques persistent.

Une lettre ouverte des féministes pour un droit sans exclusion

Le 5 mars 2025, en plein débat public et parlementaire précédant la réforme, plusieurs organisations féministes ont adressé une lettre ouverte au ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale. Leur appel, à la fois juridique et politique, visait à attirer l’attention sur une faille majeure du dispositif de protection de la maternité : l’article 32 du décret exécutif n° 84-27, dont l’interprétation restrictive prive encore de nombreuses femmes travailleuses de leurs indemnités de congé de maternité.

Dans leur texte, les militantes dénoncent une situation absurde : une simple absence non rémunérée, même autorisée par l’employeur, peut être considérée comme une « rupture de la relation de travail » et entraîner la perte totale des droits liés à la maternité.
Une logique punitive en totale contradiction avec la loi n° 83-11 sur les assurances sociales et avec les conventions internationales ratifiées par l’Algérie, notamment la Convention n° 3 de l’Organisation internationale du travail sur la protection de la maternité.

« Il est injuste qu’une femme perde son congé maternité indemnisé pour une absence de quelques jours », écrivent-elles, dénonçant une double peine : perte de salaire, puis exclusion du système de sécurité sociale.

Une simple absence non rémunérée, même autorisée par l’employeur, peut être considérée comme une « rupture de la relation de travail » et entraîner la perte totale des droits liés à la maternité.

La lettre recommande une révision urgente de l’article 32, afin que la seule condition ouvrant droit à l’indemnisation soit l’existence d’un emploi six semaines avant la date prévue de l’accouchement, comme le prévoit la loi. Elle appelle également à harmoniser la sécurité sociale avec le Code du travail et la fonction publique, pour mettre fin aux contradictions juridiques qui entretiennent les discriminations.

Le document a été officiellement transmis au Parlement, à la Commission du travail et de la sécurité sociale de l’Assemblée populaire nationale, ainsi qu’aux ministères de la Solidarité nationale et de la Justice, dans l’espoir de voir la question examinée dans le cadre de la réforme globale du droit social.

Huit mois plus tard, aucune réponse officielle n’a encore été apportée. Pour les militantes, cette absence d’écho ne traduit pas un désintérêt, mais plutôt la lenteur d’un appareil administratif encore marqué par des pratiques anciennes. Elles rappellent cependant qu’aussi ambitieuses soient-elles, les réformes resteront incomplètes tant que ces textes anciens et inéquitables ne seront pas révisés.

Sur le terrain : de nombreuses zones grises

Si la réforme du congé de maternité marque une avancée incontestable sur le plan juridique, sa mise en œuvre révèle encore de nombreuses zones d’ombre.
Dans plusieurs provinces (wilayas), des femmes témoignent de procédures inégales et de refus injustifiés. Certaines se voient réclamer des pièces absentes du Code du travail : une fiche familiale, impossible à fournir pour les mères célibataires, ou un certificat d’accouchement hospitalier exigé aux mères adoptantes et à celles qui ont accouché en dehors d’un établissement de santé ; conditions non prévues par la loi.

Pourtant, le texte est clair : il parle de « femmes travailleuses », sans mention de statut marital ni de maternité biologique. En pratique, cette précision essentielle est souvent ignorée : les mères célibataires et adoptantes, assurées et cotisantes, restent exclues de leurs droits les plus légitimes, prises dans des démarches où la maternité n’existe qu’à travers le mariage ou l’accouchement biologique.

Pour Atiqa Belhacene, cofondatrice de l’initiative Dépression Post-Partum DZ, cette contradiction révèle une vision encore partielle du droit à la maternité : « La prolongation du congé est un pas en avant, mais elle reste pensée autour de l’enfant. Le débat officiel a parlé du bébé malade, pas de la santé physique et mentale des mères. Le corps, la fatigue, la dépression post-partum : tout cela reste invisible dans la loi comme dans la pratique. » Elle alerte aussi sur un risque d’assignation genrée du soin : « En liant la prolongation à l’état du nouveau-né, on renforce l’idée que la charge du soin revient exclusivement aux femmes. Ce n’est pas un congé parental, c’est un congé maternel, centré sur la disponibilité des mères. »

Les mères célibataires et adoptantes, assurées et cotisantes, restent exclues de leurs droits les plus légitimes, prises dans des démarches où la maternité n’existe qu’à travers le mariage ou l’accouchement biologique.

Sur le terrain, ces contradictions se traduisent par une inégalité d’accès aux droits : selon la commune, l’entreprise ou le secteur, certaines salariées sont indemnisées, d’autres non. La réforme a changé la loi ; il reste à changer la culture administrative.

L’ouverture économique et le recul silencieux des droits des mères travailleuses

Pour comprendre les inégalités actuelles, il faut revenir sur un tournant majeur : l’ouverture économique de 1989, qui a bouleversé le modèle social algérien. Avant cela, le Code du travail garantissait des droits uniformes aux femmes salariées : congé maternité, heures d’allaitement et stabilité de l’emploi étaient des acquis collectifs, issus du projet socialiste d’après-indépendance.

Avec la libéralisation et l’essor du secteur privé, ces garanties ont été décentralisées : les conventions collectives ont remplacé la loi, laissant place à une gestion arbitraire des droits liés à la maternité. Le droit à deux heures d’allaitement, autrefois automatique, est devenu négociable, parfois supprimé, souvent ignoré, dépendant du bon vouloir des employeurs, majoritairement masculins.

Cette dérégulation a créé une fracture silencieuse : les salariées du public restent protégées, celles du privé doivent revendiquer individuellement leurs droits. Les mères adoptantes en sont presque toujours exclues : leur maternité, reconnue socialement, ne l’est ni juridiquement ni professionnellement. Résultat : les femmes demeurent tributaires du pouvoir patronal, et la maternité, autrefois droit collectif, est devenue une faveur conditionnelle, vidant de sens l’idée d’égalité réelle au travail.

Lutte pour une parentalité partagée

Interrogé sur l’éventualité d’un congé de paternité, le ministre du Travail Fayçal Bentaleb a tranché : « Les hommes doivent aller travailler pour subvenir aux besoins de leur famille. »

Une phrase qui a immédiatement divisé l’opinion. Pour certains, elle illustre une vision rétrograde qu’il est urgent de dépasser : la femme ne peut plus être seule à porter la charge du soin. Un congé de paternité serait un pas vers une égalité réelle, où les responsabilités familiales se partagent enfin.
D’autres, au contraire, ont approuvé ces propos, estimant qu’un tel congé serait inutile tant que les hommes, dans la majorité des foyers, ne participent ni à l’éducation des enfants ni aux tâches domestiques.

Entre ces deux visions, les revendications féministes restent constantes : réviser l’article 32 du décret 84-27, reconnaître les mères célibataires et adoptantes, rétablir les heures d’allaitement et intégrer la santé mentale post-partum dans les politiques publiques.
Au-delà de la durée du congé, l’enjeu est clair : transformer la culture du soin et du travail pour que la parentalité devienne un droit partagé, et non une charge féminine éternelle.

Amel Hadjadj

Amel Hadjadj

Amel Hadjadj est une militante féministe née en 1986 en Algérie à Constantine, la ville où elle a grandi et suivi ses études universitaires en médecine. Elle se revendique militante féministe intersectionnelle, et pour les droits humains. Elle est également fondatrice et représentante nationale du « Journal Féministe Algérien », fondation pour les informations et les initiatives féministes, où elle est responsable de création de contenu multimédia et de programme de sensibilisation. Après avoir travaillé 7ans comme enquêtrice et consultante commerciale, elle est devenue consultante et intervenante associative en 2017 auprès de plusieurs organisations qui travaillent sur les thématiques liées au genre et au féminisme. Amel est aussi blogueuse et créatrice de contenu féministe pour plusieurs plateformes et médias nationaux et méditerranéens.

Articles similaires

Rawsa : Réseau pour le droit et l’accès des femmes à l’avortement sécurisé au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
En mouvement

Rawsa : Réseau pour le droit et l’accès des femmes à l’avortement sécurisé au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Nathalie Galesne
27 septembre 2021
1.5k

Changer les mentalités, les comportements et les juridictions sur les droits sexuels et reproductifs, faire sortir l’avortement de l’illégalité dans...

En mouvement

Ons Jabeur, un rêve tunisien devient réalité.

Contributrice Medfeminiswiya
20 mai 2022
1.4k

À l'exception de ceux qui dévalorisent les femmes dans la société et regardent l'icône tunisienne comme un corps qui doit...

Hela Ouardi « Le corps féminin était perçu comme un avatar du territoire ennemi »

Hela Ouardi « Le corps féminin était perçu comme un avatar du territoire ennemi »

28 juin 2022
1k

Nawal Al-Saadawi

18 avril 2021
973

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

J'accepte les termes et conditions et la Politique de confidentialité .

Medfeminiswiya

Medfeminiswiya est un réseau féministe qui rassemble des femmes journalistes travaillant dans le domaine des médias et de la production de l’information dans la région méditerranéenne.

Newsletter


    Suivez-nous

    Parcourir les rubriques


    • Explorations
    • Dossiers
    • Reportages
    • En mouvement
    • Portraits
    • Opinions

    • Créations
    • Expo Arts Visuels
    • Livres, films, séries
    • Multimedia
    • Contextes
    • Blogs
    • A propos
    • Notre communauté
    • Nos Partenaires
    • Devenir membre
    • Charte Éditoriale
    • Mentions légales

    © 2025 Medfeminiswiya - Réseau méditerranéen pour l'information féministe

    • it VO
    • fr Français
    • en English
    • ar العربية
    • Explorations
    • En mouvement
    • Portraits
    • Créations
    • Opinions
    • Multimedia
    • Contextes
    • Blogs
    Pas de résultat
    Afficher tous les résultats

    © 2025 Medfeminiswiya - Réseau méditerranéen pour l'information féministe

    Welcome Back!

    Login to your account below

    Forgotten Password?

    Retrieve your password

    Please enter your username or email address to reset your password.

    Log In

    Ajouter nouvelle playlist

    Ce site n'utilise pas de cookies. This website does not use cookies. هذا الموقع لا يستخدم ملفات تعريف الارتباط.