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Médecine esthétique : marcher sur le fil des injonctions

Souvent pointée pour ses dérives, la médecine esthétique séduit aussi les jeunes femmes qui souhaitent investir dans leur capital beauté sur le long terme. À défaut de détenir le pouvoir symbolique et le capital financier au même titre qu'un homme dans un régime capitaliste et patriarcal, c'est aussi une stratégie et une pirouette habile de tenter de modeler leur corps à l’image des normes genrées imposées ou de jouer avec elles… Sans peur des paradoxes.

Anaïs Delmas Anaïs Delmas
12 septembre 2024
dans Dossiers, Explorations
18 1
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Quand sa fille fait une bêtise, Floriane lui témoigne son mécontentement en fronçant les sourcils avec beaucoup de retenue… Littéralement. Depuis un an, la jeune maman fait du botox préventif pour combler une ride d’expression située sur son front, un héritage de son père selon elle. Et à 29 ans, elle ne compte pas s’arrêter en si bon chemin : “Je compte absolument le refaire quand j'en aurai besoin pour éviter que ces grosses rides génétiques ne se creusent dès maintenant.” Les médecins esthétiques nomment ce type d’acte de la “préjuvénation” ou “préjeunissement”. En somme, prévenir les premiers signes du vieillissement en figeant certains muscles à l’origine de nos rides d’expression. Car désormais, en France, les 18-34 ans consomment plus d’actes esthétiques que les seniors (50-60 ans). Cette démocratisation est souvent questionnée pour ses dérives. Pourtant la réalisation de ces actes suit une logique inhérente aux injonctions sexistes : « si j’ai les moyens de modeler mon image pour la faire correspondre à la norme établie, pourquoi m’en priver ? ».

Pour Floriane, pas question que l’acte se voit : “Très rapidement mon muscle a figé la ride, mais par contre j'ai vite retrouvé l'expression de mon front. Donc je ne suis pas complètement figée et c'est très agréable parce que du coup c'est ultra naturel.” Cet effet “naturel” Lola l’a aussi recherché après des injections d’acide hyaluronique ratées dans les lèvres. C’est à sa petite communauté sur Instagram que la coach fitness sur la Côte d’Azur s’est confiée. Dans une story face caméra, celle qui a déjà l’habitude de modeler son corps par le sport, a voulu sensibiliser aux effets indésirables et lever le tabou sur ces pratiques. “J’ai eu d’énormes bleus, d’énormes œdèmes” confie-t-elle. Maintenant, pour que le résultat soit le plus discret possible, elle y met le prix. “J'ai fait passer le cap à plusieurs personnes parce qu’elles ont vu que sur moi ce n'était pas too much ou super moche, que ce n'était pas catastrophique comme on pouvait le voir à la télé.” précise la jeune femme.

Mon corps, mon choix ? Des complexes à enrayer. Des paradoxes à assumer

Quand elle s’est rendue chez sa chirurgienne pour la première fois, Lola lui a montré une photo de la chanteuse Ariana Grande. Une star à qui elle s’identifie dans les traits du visage… Hormis les lèvres. Complexée, elle rêvait d’une bouche plus pulpeuse “depuis son plus jeune âge”. Aujourd’hui, elle ne regrette rien : “C'est joli et puis ça harmonise mon visage, je me sens vraiment bien. A tel point que je ne me maquille vraiment jamais.” Floriane a quant à elle eu le sentiment que ses rides d’expression s’étaient accentuées au moment de la maladie de son père et elle a refusé que ce drame familial ait un impact sur son physique. « Je suis très à l'aise avec le corps qu'on m'a donné et point barre. Mais alors ses rides qui se prononçaient de plus en plus, j'ai vraiment eu du mal et je me disais putain, j'ai pas envie d’avoir l’air fatigué. » explique-t-elle.

Pourtant, si Floriane et Lola affirment que ces actes les ont libérées de lourds complexes et leur ont même permis de se réapproprier leur corps et leur image, l’entourage n’est pas toujours tendre pour accueillir la démarche. Lola a eu des commentaires particulièrement désagréables de la part de son ancien partenaire après sa deuxième injonction. “C'était une catastrophe. Il ne voulait même plus me parler, même pas voir mon visage. À tel point que j’ai dû rentrer chez moi. J'ai mis un masque pendant toute la semaine, le temps que mes œdèmes dégonflent. En général, on dit que ce n’est pas naturel, que c'est ridicule. Enfin bref, que des adjectifs très péjoratifs et très peu de compréhension de la part de certains hommes” explique-t-elle. Floriane a eu le plein soutien de son mari mais le reste de sa famille était plus mitigé. Notamment son beau-frère, opposé à la chirurgie et à la médecine esthétique, qui craignait une influence sur sa femme.

Quand le physique est un outil de travail

Vouloir se servir de son capital beauté et le faire grimper dans un système patriarcal qui contraint le corps des femmes et des personnes sexisées, est-ce si aberrant ? En tout cas, quand le corps est un outil de travail, le modeler peut permettre de transformer le capital beauté en capital économique. C’est le cas de Nine qui assume ce calcul, malgré son féminisme, iel justifie : “Mon physique fait partie de mon travail”. Performeur·se érotique, iel entrevoit la médecine et la chirurgie esthétique comme de la modulation de son corps pour se démarquer auprès de sa clientèle : « Je sais que c'est quelque chose qui n'est pas tabou dans le milieu dans lequel j'évolue et qui peut être utilisé pour avoir plus de clients, ou alors cibler un public, une clientèle très précise. » Depuis juin, Nine a réalisé plusieurs injections d’acide hyaluronique dans ses lèvres. En tant que personne non-binaire, iel est tenté·e par d’autres modifications corporelles pour jouer avec les normes genrées : « Je vais très certainement prendre de la testostérone dans quelques mois pour atténuer une certaine partie de moi que je trouve trop féminine, que je n'apprécie pas. Mais parallèlement, comme je me considère non-binaire, j'ai très envie de me refaire des injections. Il y a cette volonté de développer des aspects à la fois mascu et fem. »

Nine, contrairement à Lola ou Floriane, n’a pas peur que ses injections se voient et revendique ainsi une “slut attitude”* dans un retournement du stigmate bien dosé : “Tu revendiques vraiment le fait d'être une pétasse, et c'est quelque chose que tu te réappropries aussi.” Mais même dans le milieu queer, il y a des injonctions et un idéal, celui de sortir de la norme. « Je trouvais que ce n'était pas assez et que ça manquait aussi de personnalité. J'aime bien les physiques un peu atypiques où il y a quelque chose qui ressort, moi j'ai des yeux marrons, j'ai un visage très lambda. » explique Nine.

Et puis, une question persiste : où commence et où s’arrête la médecine esthétique ? Pour les spécialistes, certains soins du visage en profondeur comme l’Hydra Facial, une technique de nettoyage et d’hydratation de la peau en profondeur, s’apparentent déjà à de la médecine esthétique. Mais quid de l’épilation définitive ? Ou, si on pousse notre réflexion, du tatouage ? Car la médecine esthétique contrairement à la chirurgie n’a pas encore de cadre défini par les autorités françaises.

Finalement, est-ce qu’avoir recours à la médecine esthétique c’est hacker le patriarcat ? Pas certain… Déjà parce qu’elle n’est pas accessible au plus grand nombre pour des raisons économiques évidentes mais aussi parce qu’elle ne résout pas le problème des contraintes faites à nos corps. Mais passer à l’acte a le mérite de confronter notre société misogyne à ses paradoxes. Nine dénonce ainsi l’hypocrisie d’une société qui cumule les injonctions sur le dos des femmes et des queers : “Je trouve qu'on est dans un truc très schizophrénique où, d'un côté on pousse beaucoup de personnes, notamment les femmes cis, à se faire de la chirurgie sur la gueule. Et d’un autre, ce sont des pratiques qui sont énormément jugées et méprisées[...] Moi, je fais de la chirurgie, j'assume et je t'emmerde en fait.”

* une « attitude de salope » assumée pour sortir du cadre et des codes genrés de bienséance. Cette attitude est un pied de nez au slut shaming, un anglicisme qui désigne l’humiliation subie par des personnes, souvent des femmes, dont l’attitude, l’habillement ou l’aspect physique sont jugés trop provocants, sexuels ou immoraux.

Cette enquête a été réalisée grâce au soutien de l’AGEE - Alliance pour l'Égalité de Genre en Europe.

Tags: Femmes et corps
Anaïs Delmas

Anaïs Delmas

Anaïs Delmas est une journaliste indépendante basée à Marseille. Elle s'intéresse aux enjeux entre mémoires, représentations médiatiques et identités à travers les luttes, les lieux mémoriels ou encore le rapport au corps. Reporter multimédia et enquêtrice, elle a collaboré avec plusieurs médias (France 24, ENTR, Medfeminiswiya, Radio Nova, ARTE...) et des boîtes de production sur du reportage et du documentaire.

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