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Association à but non lucratif WOW Italie promeut l'inclusion et la coopération dans un des domaines de la médecine où l'écart entre hommes et femmes est le plus élevé au monde : l'orthopédie.

13 fois arrêtée par le régime des Mollahs, condamnée à 31 ans de prison et à 154 coups de fouet, la militante iranienne Narges Mohammadi n’a cessé de combattre pour les droits humains, y compris de la prison d'Evin à Téhéran où elle est incarcérée depuis septembre 2021.

Les jeunes femmes ont peu à peu investi les rédactions en nombre mais peu en pouvoir de décision. De fait, elles restent souvent cantonnées dans les sujets « légers », tandis qu’elles ont l’exclusivité des questions liées aux violences faites aux femmes et de manière générale à la condition féminine. Autant de thèmes qui restent marginaux dans les médias algériens.

La célèbre photo-reporter sicilienne est morte à 87 ans le 13 avril dernier. Ses intenses clichés en noir et blanc ont raconté 40 ans d’une histoire italienne tourmentée : de la guerre des mafias au terrorisme, de la maladie mentale à la pauvreté, avec un intérêt tout particulier pour les femmes.

Chères Lectrices, chers lecteurs, Les journalistes et toute l’équipe de Medfeminiswiya vous souhaitent une excellente année 2022. Notre plateforme est née, il y a quelques mois, pour faire entendre les voix des femmes de la Méditerranée, raconter et documenter leurs vies, partager leurs luttes communes contre l'injustice et la violence sexistes. Nous poursuivrons ces objectifs avec une détermination renouvelée malgré l'incertitude et l'adversité qui caractérisent notre époque. Ainsi l'imminente publication du prochain dossier sur les femmes en milieu rural nous permettra de sillonner diverses régions de la Méditerranée et d'exploiter la dimension multimédia du site. De beaux projets en perspectives avec vous et pour vous !

Destiné aux femmes victimes de violences de genre, de discriminations multiformes et d'exclusion économique et sociale, le Centre Beity (Ma Maison) a ouvert ses portes en 2016 dans la médina de Tunis. Notre reportage sur un lieu où les femmes croisent solidarité, empathie et partage

Comment la pandémie nous a-t-elle trouvés ? La crise syndemique et les politiques publiques : dans quelle mesure la négligence néolibérale, les privatisations et les coupes sociales ont-elles influencé les effets de la crise ?

Alors que le monde s’apprête à célébrer, le 28 septembre, la journée pour l’avortement libre et sécurisé, nous publions un vaste dossier sur les droits sexuels et reproductifs. Pour le réaliser, les journalistes de Medfeminiswiya ont enquêté en Algérie, Egypte, Italie, Palestine, Turquie, au Liban et au Maroc ainsi qu’à Malte, pays où ces droits fondamentaux sont loin d’être acquis ou demeurent, lorsqu’ils le sont, bien fragiles.

La loi sur la santé promulguée en 2018 fut saluée par des observateurs et des journalistes comme une avancée importante pour le droit à l’avortement en Algérie. En réalité ce texte n’a rien de révolutionnaire puisque le principe de stricte interdiction demeure entier.

En Italie, l'avortement est protégé par la loi, du moins sur le papier, car dans la pratique, nous devons faire face à la moyenne nationale des objecteurs de conscience, qui atteint 70 %, avec des pointes de plus de 90 % dans le Molise, le Trentin-Haut-Adige et la Basilicate.