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Algériennes. Le combat continue.

Toujours en première ligne pour la liberté et la justice de leur pays, les Algériennes sont souvent seules pour leur propre émancipation.

Ghania Khelifi Ghania Khelifi
6 janvier 2021
dans Algérie, Contextes
257 14
1
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Cette publication est également disponible en : English (Anglais) العربية (Arabe)

Ne rien lâcher, toujours se battre

En 1984 le patriarcat remportait en Algérie une de ses plus belles victoires. Le Code de la famille adopté par une assemblée nationale presque exclusivement masculine entrait en vigueur. Toutes les relations entre les membres de la famille seront régies par ce texte, l’infériorisation des Algériennes dans leur vie privée était désormais consacrée. Les collectifs de femmes soutenus par des moudjahidates (combattantes de la guerre de libération nationale) se sont fortement mobilisés contre ce « cadeau » fait par les conservateurs du FLN (Front de Libération nationale) parti unique, aux islamistes. Sit ins devant l'assemblée, manifestations et marches n'ont pas réussi à abroger cette loi.

Rassemblement pour dénoncer les attentats islamistes, mouvement des femmes. Algérie, 22/03/1994. Avant plan: Zazi Sadou. Archives du RAFD.

En ces années 1980 l'Algérie traverse une crise économique sans précédent et une instabilité sociale qui enfantera une révolte populaire réprimée dans le sang le 5 octobre 1988. Les islamistes furent les grands gagnants de cette déliquescence du régime en place et de sa violence envers les populations. Le fruit était mûr et il fut cueilli par le FIS (Front du Salut Islamique) qui rafla la mise lors des élections locales en 1990. Les femmes qui osaient alors revendiquer l'égalité des droits étaient traitées «d’occidentalisées», de « prostituées », de « mécréantes » et des « filles du parti de la France ».

L'argument que le Code de la famille (de l'infamie selon les féministes) était en contradiction avec la Constitution dans son article 29 qui prévoit l'égalité devant la loi n'était même plus opposable puisque les islamistes ne reconnaissent que le Coran comme seule constitution. Or le code s'appuie sur la charia et devient donc intouchable.

Les revendications citoyennes et plus particulièrement féministes entraient à partir du début des années 1990 dans leur phase de glaciation. Ce que l'on a appelé par la suite la décennie noire était vouée à survivre aux attentats, aux massacres perpétrés par les groupes armés islamistes.

Comme pendant la guerre de libération du colonialisme français, les Algériennes ont payé le prix de la résistance au terrorisme islamiste.

Le terrorisme loin d'être aveugle a ciblé en premier lieu les intellectuels, les artistes, les militants des droits citoyens et bien entendu les féministes. Comme pendant la guerre de libération du colonialisme français, les Algériennes ont payé le prix de la résistance au terrorisme islamiste. Elles ont subi les viols, les kidnappings, la torture, les assassinats parce qu'elles refusaient d'abandonner leur travail, de mettre le voile, de ne pas livrer leurs enfants aux maquis terroristes, de cautionner l'obscurantisme et la violence et d’avoir été militantes politiques ou associatives.

La résistance populaire a finalement triomphé des groupes armés mais les graines de la régression étaient bien plantées. La loi de la réconciliation nationale menée par l’ex président Abdelaziz Bouteflika faisait la part belle aux terroristes prétendument repentis mais passait sous silence le calvaire des femmes violées par les terroristes. Un marchandage sordide s'en est suivi avec les autorités religieuses pour que ces victimes soient reconnues comme telles.

Toutefois l'espoir renaît malgré tout avec le président Bouteflika qui promet, entre autres miroirs aux alouettes, de donner plus de place aux femmes. En 2005 une réforme du code desserre quelque peu l’étau.

Le tuteur lors du mariage n’est plus qu’un représentant de l’épouse, la polygamie soumise a davantage de restrictions, la liberté de voyager sans l’autorisation du mari accordée, la transmission de la nationalité par la mère dépoussièrent la loi qui reste dans son essence inégalitaire et discriminatoire. Néanmoins le tabou était levé, le code n’était pas un texte sacré, même si l’on sait que les initiatives du gouvernement ciblent souvent l’opinion de ses partenaires occidentaux.

Cette même année, l’Algérie signait la Convention internationale pour l’élimination des discriminations à l’égard des femmes avec des réserves toutefois au nom « du respect des législations nationales, des traditions, de la religion ou de la culture ». La déception est grande mais les militantes ne baissent pas les bras. Leur détermination à sortir de l’ombre contraint le gouvernement à concéder une nouvelle loi en 2012 pour « augmenter les chances d’accès de la femme à une meilleure représentation dans les assemblées élues ». Les candidates profitent de cette politique du quota pour investir les bancs de l’assemblée populaire nationale avec un taux record de 31,6%.

«Si l'arsenal juridique évolue peu à peu, la réalité des Algériennes est loin de s’améliorer.»

Si l’arsenal juridique évolue peu à peu, la réalité des Algériennes est loin de s’améliorer. Le poids des traditions et de la religion vide parfois de leur substance les avancées de la loi. Les femmes sont candidates mais à des places « ingagnables » sur les listes électorales, elles sont cadres et fonctionnaires (20% des travailleurs et deux tiers des diplômés) mais jamais cheffes, elles sont libres mais leur corps ne leur appartient pas. La virginité avant mariage, la « réputation », les « valeurs » de bonne musulmane sont autant de chaînes qui leur interdit de partager l’espace public avec les hommes et de mener leur vie librement.

La puissance du patriarcat en Algérie se manifeste quotidiennement dans le harcèlement de rue, les violences intra familiales et les féminicides. Il a fallu attendre 2015 pour que le législateur sous la pression des militantes des droits des femmes criminalise la violence conjugale, le harcèlement de rue et dans les lieux publics, le vol entre époux et la spoliation des biens de la femme par son époux. Malheureusement, comme souvent le pouvoir algérien reprend d’une main ce qu’il donne de l’autre, la « clause du pardon » stipule que les poursuites
judiciaires sont abandonnées dans les cas les moins graves si l’épouse « pardonne » le conjoint agresseur et elles sont maintenues mais allégées dans les cas graves.

Pourtant le phénomène des féminicides dans toutes les catégories sociales prend de l’ampleur au rythme de cent à deux cents victimes par an. La justice, les services de police ne protègent pas les femmes en danger par manque de formation et de moyens, mais plus généralement parce qu’ils cautionnent la violence du conjoint. Le foyer familial est sous l’autorité des hommes qui sont eux garants de sa cohésion et de son « honneur ». C’est en résumé la mentalité dominante. Les femmes hésitent toujours à porter plainte contre le père de leurs enfants ou contre un frère, un oncle. Cela ne se fait pas et elle risque le bannissement. Sans structures d’hébergement d’urgence, de mécanismes de protection, les victimes tentent de résister parfois jusqu’à la mort.

Les féministes et plus encore les jeunes militantes sont en train de changer les mentalités, bousculant les préjugés et l’omerta grâce aux réseaux sociaux qu’elles ont investis pour médiatiser ces crimes. Elles sont aussi dans la rue pour exiger la pleine citoyenneté. Jamais les femmes de tout âge et de toutes condition, n’avaient été aussi nombreuses que dans les manifestations du Hirak du 22 février 2019. Elles ont fait entendre aux côtés des hommes leurs propres revendications de liberté. C’est le début d’une nouvelle étape de la longue marche des Algériennes vers l’égalité, décidées cette fois-ci à crier aussi fort que possible jusqu’à être entendues.

Tags: AlgérieAlgériennescombatségalitéféminismeviolence
Ghania Khelifi

Ghania Khelifi

Ancienne directrice de rédaction du quotidien algérien Liberté, journaliste politique, diplômée de La Sorbonne, Ghania Khelifi est également chargée de mission égalité Hommes-Femmes en France où elle vit. Titulaire d’un DESS sur l’œuvre et le parcours de Kateb Yacine, elle a signé la première rétrospective lui étant consacré à Alger en 1991, « Kateb Yacine, poèmes et éclats », au tout début de la décennie noire. Spécialiste de la société algérienne, elle collabore régulièrement à Babelmed.net depuis sa création.

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Commentaires 1

  1. Thomas says:
    2 ans depuis

    Très belle article. Merci beaucoup pour votre travail
    Pourriez-vous nous dire s'il vous plait si il y a eu des avancées depuis l'écriture de l'article ?
    D'avance merci et bonne journée

    Répondre

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