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Droits sexuels et reproductifs face aux tabous et au covid-19 en Algérie

En Algérie, les femmes sont censées avoir une sexualité uniquement dans le cadre du mariage hétéro-normé : « seul mariage reconnu par la loi, la société, et la religion dominante ». Mais dans la société réelle, elles sont de plus en plus nombreuses à échapper aux normes sociales qui tentent de contrôler leur corps et leur sexualité.

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3 novembre 2021
dans Dossiers, Explorations
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Par Amel Hadjadj

Pourtant, à ce jour, il est encore tabou de parler de la sexualité des femmes. La volonté du contrôle collectif de leurs corps à travers les lois et les pratiques sociales reste un obstacle de taille pour qu’elles aient accès à une sexualité saine et épanouie. De fait, la loi ne condamne pas les rapports sexuels hors mariage mais l’article 338 du code pénal condamne l’homosexualité et l’article 333 l’outrage à la pudeur laissé à la libre interprétation du procureur. Ces conditions n’empêchent pas les personnes de vivre autrement leur sexualité en ayant recours à des astuces.

Beaucoup de traditions relatives au mariage, tournent au autour de l’acte sexuel. Cet acte dans l’imaginaire collectif est plutôt limité à la pénétration, ou « la Dokhla » en algérien. Ainsi les femmes -bien que cette pratique tende à disparaître- sont censées faire la preuve de leur virginité.

Par ailleurs, alors que les droits sexuels consacrent la liberté de disposer de son corps, en Algérie, l’avortement ainsi que l’incitation à l’avortement sont criminalisés et condamnés à une peine pouvant aller jusqu’à 3 ans de prison et/ou une amande s’élevant à 100.000 da.

Cependant des progrès considérables ont été réalisés depuis l’indépendance en matière de droits sexuels et reproductifs, qu’il s’agisse de ceux relatifs à la fécondité (fécondation, grossesse, accouchement...) ou de ceux relatifs au contrôle des naissances (stérilité, nombre souhaité d’enfants ou espacement des naissances). Les chiffres de la revue Femmes en Chiffres, de la fondation pour l’égalité/CIDDEF valent la peine d’être consultés.

Pourtant beaucoup de choses restent à faire, notamment pour l’accès à une santé reproductive de qualité, ou pour le changement des lois concernant l’IVG (interruption volontaire de grossesse), autorisée uniquement dans les cas de viol par des terroristes (mesure exceptionnelle relative au contexte des années 1990) ou en cas d’avortement thérapeutique.

Les droits sexuels et reproductifs depuis le covid-19 

La sexualité de ceux et celles ne rentrant pas dans les normes acceptées par la société, se vivait avant le covid-19 en cachette. Ce sont particulièrement ces populations vulnérabilisées par le rejet, les lois, les pratiques sociales et la stigmatisation qui ont vécu une dégradation considérable de leur vie sexuelle.

Par ailleurs, de nombreux témoignages de femmes sur leur fausse couche, leur grossesse ou leur accouchement ont fait émerger des difficultés multiples dues aux mesures de protection contre le covid-19. En effet, elles se sont retrouvées seules dans les services de maternité, sans aucun membre de leurs familles pour les assister, comme c’est souvent le cas, compte tenu du nombre insuffisant de ressources humaines paramédicales dans nos hôpitaux.

Alors que les droits sexuels consacrent la liberté de disposer de son corps, en Algérie, l’avortement ainsi que l’incitation à l’avortement sont criminalisés et condamnés à une peine pouvant aller jusqu’à 3 ans de prison et/ou une amande s’élevant à 100.000 da.

La crise économique et les licenciements, surtout lors de la première vague et du premier confinement, ont limité l’accès des femmes non indépendantes financièrement aux services de santé sexuelle et reproductive. Le recours à l’avortement informel (non sécurisé) et non réglementaire, pratiqué au noir par des médecins ou des personnes exerçant des métiers paramédicaux, est devenu sous covid quasi impossible. Il en a été de même pour l’obtention des pilules abortives importées et vendues, elles aussi, au noir. La fermeture des frontières, depuis la crise sanitaire, a également empêché les femmes d’interrompre leur grossesse à l’étranger, dans les pays où l’avortement est autorisé. Quant à celles qui décident d’avorter en Algérie, elles n’y parviennent que très rarement, et cela se passe souvent dans de très mauvaises conditions.

Avortement en plein covid-19 

Mon travail pour le fond mondial en partenariat avec le ministère de la santé algérien (2018-2021) dans le cadre de la lutte contre les IST et le VIH/SIDA auprès des populations vulnérables, m’a permis de mener plusieurs entretiens avec des femmes concernées par la pratique de l’avortement : les femmes du milieu de la prostitution ou du travail du sexe (selon la manière dont s’identifient les personnes interrogées). Ces femmes sont directement exposées à ce problème et y font face en s’organisant entre elles d’une façon impressionnante.

Des milieux liés

Les personnes interrogées sont complètement conscientes et informées du cadre juridique de l’avortement, alors qu’elles ne sont absolument pas au clair par rapport à d’autres lois les concernant. Ainsi les patronnes ou les présentatrices, comme on appelle les femmes proxénètes, sont de toutes orientations sexuelles, et le lesbianisme n’est absolument pas tabou dans leur milieu.

Un exemple : si B. D.* sait parfaitement que l’avortement et le proxénétisme peuvent la mener en prison, il est en revanche inconcevable pour elle, lesbienne, que son orientation sexuelle puisse être réprimée par la loi puisque « tout le monde dans son entourage le sait, l’accepte ».  Que la loi puisse la punir ne semble pas pour autant l’atteindre : « c’est sûrement faux comme information. »  

Dans les réseaux de prostitution et du travail du sexe, les femmes sont organisées et elles ont une parfaite maîtrise de la cartographie des lieux informels où se faire avorter (avortement médicamenteux ou autre). Ce marché, comme nous l’avons déjà souligné, s’est écroulé progressivement pendant la crise sanitaire vu la fermeture des frontières et l’épuisement du stock des pilules abortives.

L’honneur est un mythe construit par des normes sociales qui tournent encore autour du corps de la femme.

Selon B.D. les médecins et les paramédicaux qui pratiquent l’avortement « au noir » ont augmenté le prix de leurs prestations depuis le covid-19. En outre, ces derniers traitent souvent les femmes qu’elle leur envoie de manière violentes : « Pour ces médecins pourtant instruits toutes les femmes qui avortent et qui ne sont pas mariées sont des putes à qui on peut parler mal » souligne B.D. en dialecte algérien chargé d’une bonne dose d’humour. Même celles qui sont mariées ne sont pas très bien prises en charge, déplore-t-elle, alors que pour nous, les nôtres comme les inconnues, sont toutes des femmes et des clientes. Tout ce qu’on fait, c’est gérer un marché et sa sécurité, car à chaque fois que l’une de nous tombe, c’est toute la société qui lui tombe dessus, cette même société qui nous court après secrètement et pas que pour avorter. »

Mais à qui étaient destinées ces pilules 

F. S., femme proxénète, considère que le recours à l’avortement est très important dans son environnement, vu l’inefficacité des préservatifs parfois, ou le refus d’un grand nombre de clients de les porter. D’ailleurs, lors de l’entretien, F.S. précise que généralement le port du préservatif advient uniquement comme contraceptif pour les rapports vaginaux.

Avant le confinement, les femmes de son réseau qui avaient besoin de recourir à l’avortement réussissaient à acheter des pilules à un prix variant entre 3500 da et 5000 da. Les autres femmes devaient affronter un coût pouvant atteindre 15.000 da (10.000 da en moyenne), sachant qu’elles prennent pour la plupart d’entre elles en moyenne trois comprimés à la fois.

Depuis le covid-19 les pilules ont commencé à se faire plus rares, les prix ont donc d’abord doublé, puis triplé jusqu’à épuisement des stocks. Selon F.S., les plus demandeuses étaient principalement des femmes qui ne font pas partie de son milieu, il s’agit de femmes plutôt privilégiées qui avaient avant le confinement accès à l’avortement en dehors de l’Algérie, principalement en Tunisie. Elles se sont donc retrouvées coincées avec la fermeture des frontières. A l’inverse les femmes de son réseau, à cause de la fermeture des lieux publics, l’ont rarement sollicitée.

A l’occasion de ces entretiens, j’ai pu pour l’énième fois vérifier que la vie intime des Algériens et des Algériennes est en avance par rapport aux lois et à ce qui se dit ouvertement. D’ailleurs, ce que nous faisons -ou disons en cachette- nous représente beaucoup plus ; cela décrit nos besoins et nos aspirations, qui parfois sont comme le secret de polichinelle, qu’il s’agisse de la sexualité en général, de celle des femmes et des minorisé.e.s sexuel.le.s, ou de  l’avortement… autant de questions que nous évitons d’aborder au nom de l’honneur.

L’honneur est un mythe construit par des normes sociales qui tournent encore autour du corps de la femme. C’est précisément cet honneur que j’ai croisé alors que j’enquêtais sur la situation des droits sexuels et reproductifs des femmes de mon pays où a eu lieu, en mai 2021, le viol collectif de neuf enseignantes à Bordj Badji Mokhtar, dans le sud. En réaction à ce terrible drame, la quasi-totalité des syndicats et des officiels ont parlé de l’atteinte ou de la perte de l’honneur des enseignantes, la campagne lancée disait : l’honneur des enseignantes est une ligne rouge. Au final, ni l’honneur des violeurs n’a été cité (ni même remis en compte), ni le viol n’a été mentionné en dehors des procédures judiciaires.

 

*Les personnes interrogées ont préféré garder l’anonymat.
Tags: Droits sexuels et reproductifs
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