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Les voix invisibles : quand les violences conjugales frappent les femmes migrantes

Les violences conjugales touchent toutes les femmes, mais pour celles issues de l'immigration, ces violences prennent des formes encore plus insidieuses. Entre dépendance administrative, isolement social, et pression culturelle, leur combat pour la liberté est souvent une bataille contre des obstacles multiples. Une réalité peu entendue.

Rania Hadjer Rania Hadjer
21 octobre 2024
dans Explorations, Reportages
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Un silence meurtri : l’envers du décor des migrantes victimes de violences

Les chiffres sont alarmants. Selon l’Observatoire National des Violences Faites aux Femmes, 20 % des femmes étrangères victimes de violences conjugales hésitent à porter plainte en raison de leur statut migratoire. Ce silence, souvent imposé par la peur d’une expulsion ou par le chantage administratif exercé par leurs conjoints, cache des histoires d’abus psychologiques et physiques.

Leslie Braga

« Dès que je suis arrivée en France, le visage de mon mari a changé. » Ce témoignage, Leslie Braga l’entend encore et encore. Assistante sociale à l’Accueil des Femmes en Difficulté (AFED), elle accompagne des femmes migrantes piégées dans des violences conjugales souvent invisibles. « Elles arrivent ici pleines d’espoir, pensant avoir trouvé une nouvelle vie. Mais une fois installées, elles sont rapidement isolées. Monsieur leur interdit de sortir, de travailler. Il les maintient dans une dépendance totale. »

Ces récits glaçants sont ceux de femmes venues du Maghreb, d’Afrique subsaharienne, ou d’ailleurs, et qui, une fois en France, voient leur existence basculer dans la soumission et la violence. Comme l’explique Leslie : « Les violences commencent souvent de manière insidieuse : d’abord psychologiques, elles évoluent rapidement vers des violences physiques. » Et puis, il y a le chantage, omniprésent. « Les maris leur font croire qu’elles n’ont aucun droit en France, qu’elles perdront tout si elles osent divorcer : leurs enfants, leurs papiers. »

« La migration elle-même est vécue comme un deuil. Ces femmes avaient des rêves d’une vie meilleure, mais elles se retrouvent dans une situation encore plus précaire. Le choc est double, celui des violences subies et celui de la désillusion. ».

Cette méconnaissance de leurs droits est la première barrière à leur libération. « La peur est un frein énorme, mais ce qu’elles ignorent, c’est qu’elles ont des recours, même sans titre de séjour régulier. » Leslie Braga et son équipe jouent un rôle crucial dans cet accompagnement, les aidant à comprendre qu’elles ne sont pas seules et qu’elles peuvent se reconstruire.

Le chantage administratif : un outil de terreur

Le statut migratoire est un facteur clé de cette violence. Marjorie Chapin, directrice adjointe du Centre d’information sur le Droit des Femmes et des Familles (CIDFF) et juriste, explique : « Ces femmes sont confrontées à ce qu’on appelle le chantage administratif, le conjoint les menace de leur retirer leurs papiers ou de les dénoncer aux autorités si elles osent se rebeller. ». Cette emprise est renforcée par une méconnaissance de leurs droits. Nombreuses sont celles qui ignorent qu'en France, elles peuvent maintenir leur titre de séjour même en cas de séparation, surtout lorsqu'il y a des preuves de violence.

Daniela Chacon

Les femmes en situation irrégulière, elles, se trouvent davantage piégées, sans aucun filet de sécurité. Comme le souligne Véronique PERRAIS-PHILIPPE, conseillère familiale à l’AFED et victimologue, « l'objectif des agresseurs est souvent de maintenir une situation de survie permanente, où la peur de l’expulsion les empêche de se défendre. » Dans cette spirale infernale, l’accès à la justice devient presque impossible.

Pour beaucoup de femmes migrantes, l’accès aux droits est complexe, et cette ignorance est une arme puissante entre les mains des conjoints violents. Daniela Chacon, psychologue clinicienne au CIDFF, observe également cette emprise psychologique. « Ces femmes sont sous une telle pression que certaines finissent par intérioriser cette dépendance, persuadées qu’elles ne peuvent s’en sortir seules. »

L'isolement et la barrière culturelle : un piège entre deux mondes

Loin de leurs familles, sans soutien émotionnel, les femmes migrantes victimes de violences conjugales se retrouvent souvent isolées. « Elles se battent sur tous les fronts : contre leur conjoint, mais aussi contre la pression culturelle qui leur impose de rester avec leur mari, » explique Véronique PERRAIS -PHILIPPE, conseillère familiale et victimologue à l’AFED.

Dans certaines communautés, le mariage est sacré, et le divorce est perçu comme une honte. « Elles nous disent souvent : ‘Je ne peux pas divorcer, au pays, ça ne se fait pas, surtout avec des enfants’. Cette mentalité rend leur situation d'autant plus complexe. Elles ne luttent pas seulement contre les violences physiques ou psychologiques, mais contre toute une structure familiale et culturelle qui les condamne au silence. »

Véronique Perrais

Véronique poursuit : « Il y a une sorte de tolérance tacite à la violence dans certaines cultures. L’humiliation fait partie du schéma de domination, et ces femmes finissent par l'accepter comme une normalité. » Ce n’est qu’à travers un travail d’accompagnement psychologique et social que ces femmes prennent conscience de leur droit à une vie sans violence. « Il faut les amener à verbaliser ce qu’elles vivent, à mettre des mots sur leurs souffrances. Ce processus est souvent long, mais c’est la première étape vers la libération. »

La mémoire du trauma : une douleur silencieuse

Le parcours de ces femmes est aussi marqué par des traumatismes profonds, souvent enfouis sous le poids du silence. Daniela Chacon, psychologue clinicienne, évoque la dissociation émotionnelle qui frappe nombre d’entre elles. « La migration est déjà un processus difficile, mais lorsque s’ajoutent à cela des violences conjugales, ces femmes entrent dans un mode de survie. Elles bloquent leurs émotions pour tenir le coup, mais cela peut se transformer en une dissociation complète de leur souffrance. »

Daniela explique que cette dissociation est souvent mal interprétée par la société. « On attend d’elles des larmes, de la détresse visible, mais souvent, elles ne montrent rien. Elles sont murées dans un silence que beaucoup prennent à tort pour de la force. » Ce mécanisme de défense, s’il permet de survivre à court terme, peut avoir des conséquences dévastatrices à long terme. « Une fois que le blocage émotionnel est surmonté, c’est souvent une explosion de colère, de tristesse et de douleur qui surgit d’un coup. »

Les symptômes du stress post-traumatique sont courants chez ces femmes : insomnies, douleurs physiques, pensées suicidaires. « Certaines arrivent au point de penser que la mort est leur seule échappatoire, non pas parce qu’elles veulent mourir, mais parce qu’elles ne voient aucune autre issue à la violence qu’elles subissent », raconte Daniela. « La migration elle-même est vécue comme un deuil. Ces femmes avaient des rêves d’une vie meilleure, mais elles se retrouvent dans une situation encore plus précaire. Le choc est double, celui des violences subies et celui de la désillusion. ».

Des histoires de résilience : le combat pour la dignité

Malgré ce tableau sombre, certaines femmes parviennent à briser leurs chaînes et à se reconstruire. Leur résilience suscite l’admiration des professionnelles qui les accompagnent. Leslie Braga se souvient particulièrement de l’histoire de Nassima, une femme algérienne venue en France avec l’espoir d’une vie meilleure. « Elle avait une belle situation en Algérie. Mais une fois en France, son mari l’a isolée, séquestrée, et coupée de sa famille. Il l’a poussée à bout, jusqu’à ce qu’elle réagisse violemment, pour pouvoir l’accuser de maltraitance et obtenir la garde de leurs enfants. ». Nassima, comme beaucoup d’autres, a d’abord sombré dans le désespoir, mais elle a fini par se battre. « Elle a trouvé le courage de dénoncer ses conditions de vie, de prouver qu’elle avait été victime de manipulation et de violence psychologique. Elle a pu récupérer la garde de ses enfants et reconstruire sa vie. C’est une vraie guerrière. »

« J’ai vu des femmes qui, malgré les pires épreuves, trouvent des ressources insoupçonnées. Elles parviennent à se reconstruire, à retrouver du travail, à élever leurs enfants, même sans papiers. Leur force intérieure est impressionnante. ».

Nassima n’est pas un cas isolé. Véronique PERRAIS-PHILIPPE évoque l’histoire d’une Coréenne qu’elle a accompagnée et à qui le conjoint disait : « de toute façon, tu n’iras pas loin, tu ne sais même pas parler français, personne ne te comprend ». Véronique se souvient : « lorsqu’elle est arrivée, elle parlait presque en marmonnant tellement elle était persuadée que je n’allais pas la comprendre, alors qu’elle s’exprimait bien. Elle s’éclipsait très vite à la fin de l’entretien tant elle était convaincue qu’elle ne méritait pas d’être écoutée ». Aujourd’hui, après quelques années d’accompagnement, cette femme a pu prendre la parole à l’occasion d’un colloque et s’exprimer devant 130 personnes.

Chaque jour, des femmes comme elle se battent pour retrouver leur dignité, pour se réapproprier leur liberté. Marjorie Chapin souligne la résilience incroyable de certaines migrantes : « J’ai vu des femmes qui, malgré les pires épreuves, trouvent des ressources insoupçonnées. Elles parviennent à se reconstruire, à retrouver du travail, à élever leurs enfants, même sans papiers. Leur force intérieure est impressionnante. ».

Écouter pour agir

Les violences conjugales subies par les femmes migrantes sont un enjeu invisible notre société. Pour que ces femmes puissent s’en sortir, il est impératif de leur offrir non seulement une aide juridique, mais aussi un accompagnement humain et psychologique.

La première étape vers la libération de ces femmes passe par l'écoute. Leslie Braga en est convaincue : « Ces femmes ont l’impression que leur voix ne compte pas, que leurs histoires ne valent rien. Mais chaque témoignage, chaque parole partagée est une victoire contre le silence. ». L’accompagnement, pour ces femmes, commence souvent par un simple espace de parole, un lieu où elles peuvent enfin être entendues.

Le podcast "Vivantes", lancé par Leslie, est né de ce besoin de donner une voix aux femmes migrantes. « Beaucoup de podcasts existent sur les violences conjugales, mais très peu donnent la parole à des femmes non-blanches, souvent invisibilisées. Elles pensent que personne ne veut entendre leurs histoires, qu’elles sont insignifiantes et que personne ne les comprendra en raison de leur accent. Nous devons leur montrer qu’elles sont importantes, que leur voix peut changer les choses. »

Rompre le silence est donc la première étape d’un long chemin vers la reconstruction. En leur offrant une tribune, en leur permettant de raconter leur histoire, ces femmes retrouvent peu à peu la force de se libérer. Comme le conclut Leslie Braga, « en les écoutant, en les soutenant, nous leur redonnons la dignité qu’on leur a volée ».

Ces femmes ne sont pas que des victimes : elles sont des survivantes. Elles ont un message puissant à délivrer : celui de la résilience, de la dignité retrouvée, et du droit inaliénable à vivre sans peur.

Rania Hadjer

Rania Hadjer

Rania Hadjer est une journaliste et autrice algérienne engagée. Elle a collaboré avec des médias tels que HuffPost Maghreb, El Watan, Mondafrique et Twala.info. En 2023, elle a coécrit le roman Hirak. Révolution, amour et couscous (Éditions L’Harmattan). En novembre 2024, elle a remporté le prix TANDEM Media Award dans la catégorie Art, aux côtés de Lina Meskine, pour leur article “Au Maghreb, la culture à la reconquête de l’espace public”, publié sur Medfeminiswiya.

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