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Possédées, guérisseuses, musiciennes : les femmes du tarentisme

Dans le Salento, le “talon de la botte italienne”, on croyait il y a quelques décennies encore que la morsure d’une araignée venimeuse provoquait des états de possession qui pouvaient être guéris grâce à un rituel d’exorcisme chorégraphique et musical. Le phénomène concernait surtout les femmes qui, opprimées par une société patriarcale et autoritaire, pouvaient donner libre cours via cette catharsis aux sentiments de privation et aux souffrances qu’elles avaient l’habitude de refouler. Il existait par ailleurs de nombreuses thaumaturges, qui utilisaient leur salive comme antidote, ainsi que des expertes qui diagnostiquaient le mal et des joueuses de tambourin qui participaient aux thérapies à domicile.

Federica Araco Federica Araco
22 juillet 2022
dans Explorations
212 4
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Cette publication est également disponible en : English (Anglais)

Dans le Sud des Pouilles, à partir du Moyen Âge, on voit se diffuser une pratique collective de thérapie musicale née du syncrétisme entre paganisme et civilisation paysanne.

Le phénomène, connu sous le nom de « tarentisme », était appelé pizzica pizzica dans le dialecte local, en référence à la piqûre d’une araignée venimeuse, la tarentule, et au rythme frénétique des rituels de guérison.

Des musiciens durant une thérapie à domicile dans le Salento. © Franco Pinna.

Dans ce territoire « écrasé par le soleil et par la solitude, où l’homme marche sur les lentisques et sur l’argile, et où chaque pierre craque et s’érode depuis des siècles » [1], magie et religion étaient intimement liées et la vie s’écoulait, lente, au rythme des saisons et des fêtes patronales qui assuraient aux villageois abondance et fertilité. Chaque été, l’araignée sortait de son hibernation et mordait celles qui travaillaient aux champs à la récolte du tabac, du raisin et du blé.

L’animal se voyait attribuer des préférences chromatiques, musicales et des traits de caractère qui influençaient celle qui, après la morsure, en était possédée.

Des musiciens durant une thérapie à domicile dans le Salento. © Franco Pinna.

Dès les premiers symptômes – faiblesse, angoisse, dépression, nausée, crise d’hystérie, baisse de la vue et de l’audition – la macàra (magicienne) posait un diagnostic et la famille recrutait les musiciens pour le rituel de guérison, qui durait plusieurs jours.

Dans un lieu situé en plein air ou en intérieur, on disposait divers éléments qui rappelaient la première morsure, comme des sarments de vigne ou des branches d’arbres fruitiers, des épis de blé, une bassine d’eau pour se rafraichir, des épées, symboles du combat contre l’araignée, et des miroirs. Il y avait aussi des plantes aromatiques pour stimuler l’odorat et des tissus aux couleurs préférées de la tarentule, qui, dans la danse, mourait d’épuisement.

La musique était l’élément central de la séance thérapeutique : tantôt lente et dramatique, tantôt rythmée et continue jusqu’à en devenir hypnotique, elle était systématiquement composée d’un accordéon, d’un violon, d’un tambourin et d’une guitare.

La personne, vêtue de blanc, commençait par ramper sur le dos, en se cambrant, en battant les talons sur le sol et en imitant l’araignée qui tissait sa toile, puis elle se levait pour l’écraser et, à la fin, elle courait à travers toute la pièce un mouchoir à la main en effectuant des mouvements plus érotiques.

Extrait du documentaire La taranta, réalisé en 1961 par Gianfranco Mingozzi en collaboration avec Ernesto De Martino et Diego Carpitella. Ces dernières décennies, de nombreux groupes de musique, cours de danse, pièces de théâtre, romans et films inspirés par le tarentisme ont vu le jour.

Chaque été, les symptômes réapparaissaient lorsque finissait l’année agricole, quand les craintes pour l’issue encore incertaine des récoltes et le remboursement des dettes instillait dans les âmes d’obscurs présages et des peurs ancestrales nées de traumas et de conflits non résolus.

Bien que les scientifiques l’aient longtemps considérée comme une superstition sotte de paysans analphabètes, le tarentisme présente en fait d’intéressantes dimensions anthropologiques, psychologiques et sociales. La psychiatrie transculturelle le situe entre les rituels de possession, à mi-chemin entre la maladie et la pratique culturelle et religieuse. « Dans une optique psychopathologique », peut-on lire dans une étude, « […] le sujet vit dans un état de dissociation dans lequel il manifeste des comportements très évocateurs du rapport sexuel. La pratique de l’exorcisme est elle-même riche de symboles érotiques. À l’épigenèse de ce phénomène peuvent contribuer non seulement, de manière générale, des situations dramatiques de survie et de malaise psychique, surtout féminin, mais aussi, plus spécifiquement, des événements traumatiques de nature sexuelle. »

Les femmes les plus touchées étaient justement celles qui se trouvaient à un moment particulièrement critique de leur vie, qu’il s’agisse de la puberté, d’un mariage refusé ou malheureux, du veuvage. Opprimées par une société patriarcale et autoritaire, elles pouvaient enfin, via la catharsis, donner libre cours à leurs sentiments de privation et à leurs souffrances, avec le soutien de la communauté.

L’anthropologue Ernesto De Martino, auteur d’une étude fondamentale sur le tarentisme[2], relie le phénomène aux cultes de Dionysos et aux pratiques des Corybantes chez les Grecs, ainsi qu’aux rituels de possession du monde musulman.

Pour Georges Lapassade[3], qui a longuement étudié le phénomène dans le cadre de ses recherches sur la transe, « [...] il serait la dernière expression du culte asiatique de la Déesse Mère. » Référence est également faite au mythe d’Arachné, la magnifique jeune fille qui osa défier Athéna dans l’art du tissage et fut punie en étant transformée en araignée.

Le percussionniste Colucci[4] rappelle que le tambourin, instrument central dans le rituel, était joué traditionnellement exclusivement par les femmes et qu’il représente le sexe féminin : une cavité sacrée que l’on frappe dans les cultes liés à la fertilité et aux cycles lunaires.

De nombreuses guérisseuses, enfin, utilisaient leur salive comme antidote. La transmission se faisait par lignée féminine « ouverte », c’est-à-dire non liée aux membres appartenant à une même famille patrilinéaire.

Une tarentée en pèlerinage à la Chapelle de Saint Paul de Galatina, dans l’arrière-pays salentin, à l’occasion de la fête du saint patron, le 29 juin. © Chiara Samugheo, 1954.

À partir du XVIIIe siècle, pour endiguer le phénomène, qui échappait au contrôle ecclésiastique, l’Église catholique imposa la figure de Saint-Paul[5] comme protecteur des tarentules et des tarentées. Mais les femmes réagirent initialement à cette contrainte en déchirant leurs vêtements, en profanant des autels et en exacerbant l’élément érotique en présence des religieux.

Dans la chapelle de Saint Paul à Galatina. © Chiara Samugheo,1954.

Avec la mécanisation de l’agriculture et l’usage de pesticides et de désherbants, à partir des années Soixante, le Salento a perdu sa matrice rurale : le tarentisme est devenu pour beaucoup de gens un motif de honte et il a disparu en quelques décennies. « En juin 1981, seuls trois tarentées ont fait le pèlerinage, au milieu d’une foule de touristes, de journalistes et de caméramans », rapporte Lapassade[6].

Mais le déclin du phénomène est également lié à n’en pas douter au changement du statut socio-culturel de la femme, aujourd’hui moins brimée que par le passé, bien que le conditionnement patriarcal soit encore très enraciné dans le pays, surtout dans le Sud.

[1] Extrait du commentaire du poète Salvatore Quasimodo pour  le documentaire de Mingozzi La Taranta.
[2] La  terra del rimorso. Contributo a una storia religiosa del Sud, Il Saggiatore, Milan, 1961. L’ouvrage a été traduit en français en 1966 et rééditée en 1999 [n.d.t.]
[3] Georges Lapassade, “Gente dell’ombra. Transe e possessioni”, BESA, cit. pag. 116. Le volume a d’abord été publié en français sous le titre Gens de l’ombre, en 1982 [n.d.t.].
[4] Fabio Tolledi (a cura di), “Tamburi e coltelli. La festa di San Rocco, la danza scherma, la cultura salentina”, quaderni di Astragali, Lecce 1998.
[5] D’après la légende, Saint-Paul, en voyage de Jérusalem à Rome, nagea jusqu’à Malte après avoir fait naufrage. Là, un serpent s’enroula autour de son bras sans le mordre. Dès lors, il fut considéré comme le protecteur de tous les animaux venimeux. Par la suite, il fut accueilli dans une maison de Galatina, dans le Salento, et en retour, il rendit l’eau du puits familial miraculeuse, assurant à la ville l’immunité contre le tarentisme. Aujourd’hui, le puits en question se situe dans la chapelle dédiée au saint, qui est un lieu de pèlerinage.
[6] Georges Lapassade, op. cit., p. 101.

 

Federica Araco

Federica Araco

Journaliste, Federica Araco a collaboré à la version italienne du magazine en ligne Babelmed pendant 9 ans comme rédactrice et traductrice du français et de l’anglais vers l’italien. Elle a été rédactrice en chef de la revue trimestrielle “The Trip Magazine” dédié au voyage et à la photographie. Elle a également collaboré à d’autres magazines italiens : LiMes, Internazionale, Left. Ses thèmes de prédilection sont les questions de genres, le féminisme, le multiculturalisme, l’exclusion sociale, les phénomènes migratoires, l’écologie et le développement durable. Depuis 2016, elle publie aussi des photo-reportages de voyage sur son blog.

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