Le meurtre d’une jeune femme de 26 ans par son mari, agent de la garde nationale ressuscite le débat sur les violences conjugales. Des féministes s’y impliquent en appelant l’Etat à rompre avec sa politique de banalisation d’un crime à qui on occulte toujours sa spécificité de genre.
Considérées comme citoyennes de seconde zone par le Code la famille, les militantes algériennes sont, en revanche, éligibles aux arrestations au même titre que les hommes.
Une tentative visant à créer des femmes « obéissantes » et « acceptables», s’insurge l’opposition.
La controverse sur l’application de l'accord CEDAW, la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination envers les femmes dans les territoires palestiniens, s’est enflammé dans la rue et sur les réseaux sociaux.
Constatation amère : les experts interrogés par les médias sur la Covid-19 sont à 80% des hommes.
Agressées, affamées, chassées de chez elles, le confinement a mis en évidence la fragilité des femmes. Le dispositif juridique censé les protéger a démontré ses limites.
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