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Génocide à Gaza et empathie sélective

Samah Karaki est neuroscientifique et essayiste, née à Beyrouth en 1984. Elle a publié un premier essai, Le Talent est une fiction, en 2023, et un deuxième, L’empathie est politique, en 2024. Consciente que “la société est en nous” même dans l’étude des sciences dites dures, elle a très tôt voulu croiser biologie et sciences sociales. Elle explique comment les mécanismes et biais cognitifs se mettent en place chez un groupe social dominant pour justifier, minimiser ou encore relativiser un génocide comme celui de Gaza.

Anaïs Delmas Anaïs Delmas
23 mai 2025
dans En mouvement
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Quel effet pervers et insidieux peut avoir la survalorisation de l’empathie dans “l’ère supposée des droits de l’homme et du droit international” comme vous le citez en introduction de votre essai L’empathie est politique ?

Récemment, je pense par exemple à Emmanuel Macron qui va parler de « honte » mais ne pas proposer de version concrète pour la traduire en action, sachant qu'il a des leviers qu’il peut activer. On mobilise un discours très proche de la politique de George Bush fils qui avait recours à la compassion républicaine avec un lexique très affectif et très humaniste au moment même où il négociait l'effacement et le massacre déshumanisant de civils afghans ou irakiens. Le lexique affectif vient édulcorer la réalité.

Sur le lexique justement comment le langage permet de “banaliser le mal” pour citer Hannah Arendt ? Comment les neurosciences nous éclairent sur ces exercices de langage pour minimiser ou réviser ce qui est en train de se passer à Gaza ?

Il faut savoir que quand on apprend une langue, on apprend un geste moteur, une sorte de danse par l'instrument. Et ça se passe en activant des boucles sémantiques. La mémoire se construit avec la visite fréquente d'un même objet. C'est ainsi qu'on apprend tout ce qui est bien et ce qui est mauvais. C'est une répétition mais également la manière avec laquelle on fait le lien entre des idées. Par exemple, la fenêtre d'Overton, ou la fenêtre de discours, très explorée en journalisme, est un concept que les neurosciences peuvent appuyer. Quand on est face à une information nouvelle, nous avons une sorte de centre de contrôle qui détecte les erreurs et les écarts de prédiction. Je réagis en voulant stabiliser : donc soit j'adapte ce que je sais déjà, soit je rejette la nouvelle information. Quand cette nouvelle information est présentée de manière répétitive, je finis par l'intégrer et donc par adapter ce que j'avais déjà comme référence. C'est ainsi qu'on change d'habitude, et qu’on apprend tout ce que l'on sait sur le monde. Un mot comme le terme génocide à Gaza, peut au tout départ créer un écart de prédiction parce qu’il nous renvoie à des exemples de l'histoire comme le génocide du peuple juif ou le génocide au Rwanda. Mais quand des historien.n.e.s, juristes ou politicien.n.e.s continuent à l’employer, cela finit par rendre ce vocabulaire acceptable pour décrire ce qui se passe à Gaza. Et ce qui est important, c'est la traduction immédiatement en vraies mesures. Si le chef d'Etat dit qu'il y a un génocide, juridiquement, il y a une injonction à ce qu'il intervienne pour empêcher que ce génocide se produise. Si on évite de l’employer c’est pour ne pas produire cet écart de prédiction. C'est pourtant ce qu’on fait normalement dans la communication pour préparer l'opinion publique à la réception d'un nouveau terme.

Il y a eu beaucoup de pirouettes dans les discours pour éviter de nommer le génocide tout en évoquant une “menace existentielle” ou “le droit à se défendre”...

Le débat autour de ce qu'on doit considérer ou pas comme légitime, doit donc se séparer du lexique affectif pour qu'on regarde matériellement qui est agresseur et qui est agressé. Cette dissonance, cette impossibilité, vient aussi de notre besoin de catégoriser le monde en camp du bien et du mal, et de nous catégoriser comme appartenant à celui du bien. Ces positions sont psychologiquement intenables. Il s’agit encore une fois d'une facilité cognitive qui sert à simplifier le monde et à dire : « il y a une bonne civilisation et il y a une autre déviante et hostile qu’on est en droit de coloniser ».

Selon vous, l’empathie émerge-t-elle d’une combinaison de processus affectifs et cognitifs qui ne serait donc pas universelle. Pouvez-vous expliquer comment la sélectivité de l’empathie se met en place ?

La première condition est celle de la proximité. Tout simplement parce que l'empathie, c'est la capacité de s'identifier à l'expérience de l'autre. Plus l'autre est proche culturellement, proche physiquement et proche dans son expérience, plus je vais pouvoir m'identifier facilement. Par exemple, on parle beaucoup de ce que le cinéma et la littérature font à l'empathie parce qu’ils vont nous permettre de partager les expériences d'un personnage.

“Le terme génocide à Gaza, peut créer un écart de prédiction [...] Si on évite de l’employer c’est pour ne pas produire cet écart. C'est pourtant ce qu’on fait normalement dans la communication pour préparer l'opinion publique à la réception d'un nouveau terme.”

Par contre, ça ne suffit pas du tout de s'arrêter à l'argument de proximité parce que les hommes et les femmes vivent ensemble, ils ont la même appartenance culturelle et géographique. Pourtant les hommes peuvent continuer à manquer d'empathie pour les femmes et les femmes à s'identifier au vécu des hommes. Donc il y a d'autres leviers de compréhension qu'il faut ajouter à l'argument de proximité comme : ‘ est-ce que je m'intéresse à l'autre ’ ? En fait pour que je puisse opérer une identification, il faut que je porte mon attention sur l'autre. D’ailleurs, beaucoup d'études en neurosciences le prouvent. Par exemple, si je vous demande de faire un calcul mental tout en vous faisant écouter des cris de bébés, vous allez avoir moins d'empathie pour les bébés qui pleurent parce que vous êtes préoccupé par le calcul mental.

 

Comment cette sélectivité de l’empathie se traduit-elle vis-à-vis des Palestiniens et Palestiniennes ?

 

Sous-humaniser l'autre, équivaut à ne pas le considérer comme un être singulier avec une vie psychologique riche et complexe. Je regardais un documentaire où le réalisateur est resté à la surface des choses en renvoyant les Gazaouis à des traits très simples, même quand on les présente comme victimes, ils ne sont que victimes. Ils n'ont pas de vie riche, d'ambitions, d'activités extrascolaires, de caprices alimentaires...

Vous parliez de ce que construisent en nous les représentations dans la littérature et dans le cinéma. Dans le cas des médias, il y a en plus l'instantanéité et un mode de récit formaté et plus répétitif. Quels rôles jouent les médias et leur langage pour sous-humaniser les Palestiniennes et Palestiniens ?

Si je compare l'empathie à l'attention, les médias peuvent manipuler l'empathie en manipulant l'attention que nous portons sur des personnes. Et si je prends le cas des Gazaoui.e.s, on ne porte pas d'attention à ce qu'on ne voit pas. Donc déjà la première manipulation qui peut être faite, c'est rendre invisible une population. La deuxième, c'est le temps qu'on accorde à cette visibilité. Ça veut dire que je montre, mais je ne montre pas autant que les victimes israéliennes. On sait que le phénomène de l'attention est beaucoup plus attiré par ce qui est concret plutôt que par ce qui est abstrait. C’est l’effet de victimes identifiables. Une victime est identifiable si on a son nom, son prénom, son image et une vidéo d'elle.

“On va rester à la surface en renvoyant les Gazaouis à des traits très simples, même quand on les présente comme victimes, ils ne sont que victimes. Ils n'ont pas de vie riche, d'ambitions, d'activités extrascolaires, de caprices alimentaires. ”

C'est aussi le choix du vocabulaire. Quand on utilise des termes comme « mineur » plutôt qu' « enfant » pour parler des victimes à Gaza, on fait un travail de contre-empathie dans lequel « mineur » est un lexique juridique et pénitentiaire. A l’inverse, dans le cas du mot « enfant », l'attention est attirée par ce à quoi on arrive à s'identifier mais aussi par ce qui est innocent.

Pourquoi devrions-nous changer la façon de fabriquer l'information ?

Les médias jouent un rôle dans la représentation des Gazaoui.e.s. On peut faire une analyse des images qui les montrent toujours en colère, toujours dans leur souffrance. Quand ils font ce devoir de visibiliser, ils les visibilisent en les montrant en horde, en groupe, en nombre. Réduire ces personnes à la souffrance rend cette souffrance prévisible. C'est ce qui les caractérise. Ça ne produit plus d’écart de prédiction.

Et dernier point, dans les documentaires qui sont sortis récemment, on montre les deux camps qui souffrent. On revient à l’avant 7 octobre, on montre deux familles, un côté israélien, un côté palestinien. On va par exemple choisir du côté palestinien des personnes très attachées à la paix. Et de l'autre côté, on va avoir ces personnes qui disent qu'il n'y a pas d'innocents à Gaza. Des études montrent que quand des journalistes font du fact-checking, le public retient l'information, indépendamment du fait qu'elle soit vraie ou fausse. Donc l'architecture de l'environnement cognitif n'est pas tout le temps en train de faire une estimation de ce qui est vrai ou de ce qui est faux. Elle absorbe. Je trouve problématique qu'on montre des personnes qui profèrent des propos génocidaires parce qu'on finit par les absorber, et par les banaliser.

Pour rappel, selon une estimation de l’ONU de novembre dernier, près de 70 % des victimes de la guerre à Gaza sont des femmes et des enfants. Malgré des valeurs morales supposées de sororité comment certaines féministes occidentales arrivent-elle à justifier ce massacre ou à le relativiser ?

Nos positions sur le monde ne naissent pas spontanément, suite à un événement. On ne se construit pas un regard politique sur la situation au Proche-Orient le 8 octobre. Personnellement, je pense qu'il y a beaucoup de féministes qui ont des biais racistes, tout simplement. Ce racisme néglige le prisme de la hiérarchie ethno-raciale et le prisme décolonial dans les questions féministes. Je le lie aussi à la question du voile ou à l'idée qu'il y aurait une civilisation émancipée, beaucoup plus libre et démocratique comparée à une autre qui serait barbare. Il y a beaucoup de féministes blanches qui portent un regard sous-humanisant sur les féministes arabes, noires ou sud-américaines en considérant qu'il n'y a pas d'apport plus intéressant que celui de Simone de Beauvoir. Et quand on n'a pas d'opportunité de questionner ses biais, on ne les voit pas. On ne peut pas imaginer qu'une femme voilée au fin fond de Gaza qui a cinq enfants a le même droit de vivre, a la même richesse psychologique et intellectuelle et a, elle aussi, le même désir d'émancipation. Et ça, c'est le racisme, tout simplement.

Il y a un enjeu politique à représenter les victimes de manière passive, notamment les femmes palestiniennes. Est-ce aussi une représentation plus simple pour accepter ce qui se passe ?

Je pense qu'il faut d'autres moyens pour les entendre, les voir, pour se rendre compte que les femmes palestiniennes ne sont pas un bloc monolithique. Il y a une diversité d'aspirations et de positions politiques et d'interprétation du monde à Gaza.

Anaïs Delmas

Anaïs Delmas

Anaïs Delmas est une journaliste indépendante basée à Marseille. Elle s'intéresse aux enjeux entre mémoires, représentations médiatiques et identités à travers les luttes, les lieux mémoriels ou encore le rapport au corps. Reporter multimédia et enquêtrice, elle a collaboré avec plusieurs médias (France 24, ENTR, Medfeminiswiya, Radio Nova, ARTE...) et des boîtes de production sur du reportage et du documentaire.

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